Révélation (Fruits Basket)

Rien n’aller plus, il se sentait honteux de n’avoir rien pu faire encore une fois. Il n’avait pas trouver les mots pour la convaincre, jamais il ne c’était sentit aussi « vide ». Plus jamais il ne pourrait lui adresser de nouveau la parole.
Le long du sentier il regardait les fleurs dansaient dans se doux vent, il en avait mal au cœur : les fleurs étaient sa passion.
Puis il entendit quelqu’un accourir vers lui. Il ne se retourna pas, il continué de fixé la prairie.

Momiji : Haru, Haru, attend moi ! Je dois te parler, ralentit s’il te plait !

Le bœuf s’arrêta mais il n’osé pas montrer au lapin les larmes qui coulait dans ses yeux.

Momiji (essoufflé) : Merci….. Beaucoup !!!
Haru (d’une voix mélancolique) : Qu’est-ce que tu me veux ? Laisse moi tranquille.
Momiji : J’ai appris la nouvelle, je suis venu te rejoindre car je sais que tu risques de faire une bêtise.
Haru : La bêtise je l’ai déjà faite….
Momiji : …..ne dit pas sa !
Haru : J’ai voulu qu’il arrête en lui révélant tout, mais rien ne c’est passé comme prévu.
Momiji : Ce que tu as fait est très brave, mais tu sais qu’Akito appui sur nos points faible pour qu’on se rallie à lui. Le tiens il la découvert qu’aujourd’hui, et il a voulu se venger de vos mensonges.
Haru : Pourquoi s’en est-il prit encore une fois à elle, elle a déjà énormément souffert. J’ai voulu qu’il arrête, j’ai voulu qu’il me frappe à sa place, je ne voulais pas qu’elle….*
Momiji : …..soufre. Je sais à quel point tu l’aimes. Je comprends que tu es voulu dire à Akito que c’était toi qui avais commencé…. Mais il à malheureusement compris qu’en s’attaquant à Isuzu, il te ferais plus de mal que s’il te frappait.
Haru : Pourquoi, j’ai été aussi stupide ? Elle m’avait supplié de ne rien dire, mais je ne l’ais pas écouté…..Tu as raison Momiji, je l’aime et pourtant je ne l’ais pas écoutée. Je ne la mérite pas.

Le bœuf se mit à pleurer à chaudes larmes, il souhaité mourir. Momiji le serra dans ses bras pour le consoler.
Soudain, quelqu’un arriva en courant, le lapin tourna la tête et reconnu le silhouette du mouton : Il arrivait à toute vitesse.

Hiro : Haru ! Vite, dépêche toi ! C’est terrible ! Il est devenu complètement FOU ! Aide moi !
Haru : Qui ?
Hiro : AKITO ! Quand il à appris que Rinne était encore envie, il est partit vers l’hôpital.
IL VA LA TUEE, AIDE MOI !

Hatsuharu ne pris pas le temps de réfléchir, abandonnant le mouton et le lapin, il partit en direction de l’hôpital. Jamais de sa vie il n’eu courut aussi vite les 2km de distance. Les mots que Hiro avait prononcés raisonnés dans sa tête, son sang bouillait dans ses veines. Il se devait de la sauvée, Akito ne devait plus jamais la touché.

Il arriva à l’accueil de l’hôpital. Kagura, un bleu énorme sur la joue, était en pleur devant le téléphone. Quand elle vit Hatsuharu, elle s’accrocha à lui.

Kagura : Vite, il est monté dans sa chambre ! Je n’ais pas pu le retenir !

Il parcourut les couloirs à toute vitesse. Il entendait hurlé Rinne derrière la porte. Il ne pris pas le temps de l’ouvrir, il enfonça.

Haru (en hurlant) : Lâche la tout de suite ! Sal monstre !
Akito : Tiens, tiens ! Le fiancé est venu défendre sa dulcinée.

Rinne était évanouie sur le sol au milieu des morceaux de verres, elle était couverte de bleu et de contusion. Elle saignait de la tête. En la voyant dans cet état, Haru se rapprocha d’elle, et la pris dans ses bras.

Haru : Tu es un monstre ! Elle ne mérite pas sa, ne LA TOUCHE PLUS JAMAIS !!!
Akito : Tu me donnes un ordre ? Voyons stupide bœuf, elle va bientôt crevée. Elle ne sera pas une grande perte. A moins que….. Mais, oui, j’ai compris ! Tu l’aime c’est sa ?
Je me demandais pourquoi tu l’avais demandé en mariage.

Haru ne répondit pas. Il déposa Isuzu sur son lit, puis fit volte face et i fixa le chef de famille.

Akito : Tu n’as pas le droit de l’aimer ! Tu ne dois pas être heureux avec quelqu’un d’autre que moi ! Tu dois m’aimer moi uniquement !
Haru : Je t’aimerais seulement si tu la laisse tranquille ! Je souhaite quel soit heureuse même si je dois vivre avec toi.
Akito : Tu m’imposes tes lois maintenant ? Voyons Hatsuharu (il se rapprocha de lui et lui caressa la joue), tu pense vraiment que je suis horrible ?

Haru ne répondit pas, il fixait Rinne qui venait de bouger.

Akito : Tu ne veux pas me répondre ? Bon d’accord, fait comme tu veux mais……… JE REFUSE QUE TU L’AIMES !!!

Il frappa Rinne dans les côtes, elle se tordit de douleurs. Voyant cela, Haru se jeta sur lui et le frappa de toutes ses forces. Puis il sentit quelqu’un le retenir, pendant qu’une autre personne éloigner Akito de ses mains.

Haru : LACHE MOI ! IL N’A PAS LE DROIT ! ELLE VA MOURIR, IL DOIT MOURIR !
Shiguré : Non, je ne te lâcherais pas ! Tu ne dois pas le tuer, tu ne peux pas !
Haru : JE M’EN FOU, J’VEUX QU’IL CREVE !!!!

Haru se débattait dans tout les sens mais Shiguré ne relâcha pas son étreinte. Pendant se temps, Hatori déposait Akito (évanoui) sur le fauteuil et Isuzu, très affaibli, pleurait dans les bras d’Ayamé.
Haru la remarqua et il se calma, il s’agenouilla au côté de Rinne.

Haru : Rinnie, s’il te plait répond moi ! Je t’en pris !

Il lui prit sa main couverte de sang, pendant qu’elle le regardait les yeux remplis de larmes. Elle ne répondit pas.

Hatori : Je vais raccompagner Akito au manoir. Shiguré, tu peux aller chercher des médecins pour Isuzu s’il te plait ?
Shiguré : Oui, tout de suite. (Il partit)
Hatori : Aya, laisse les tranquilles, mais reste dans le couloir au cas ou.

Ils sortirent tout les deux de la chambre en portant Akito.

Rinne était couché sur le lit les yeux fermés, des gouttes perlaient sur ses joues. Haru la fixait incapable de bouger.

Haru : Excuse moi ! Je n’ais pas voulu te faire souffrir. J’ai honte de se que j’ai fait ! Pardonne moi !
Rinne : Ce n’est pas de ta faute.
Haru : Si, ne me dis pas le contraire. Il ne t’aurais jamais fait sa si je ne lui avait pas tout raconter. Il s’est mis en colère car il sait que tu lui as mentit en voulant me protéger.
Rinne : Je mérite ce qui m’arrive. Mes parents et ma famille n’on pas voulu de moi. Tu es le seul qui m’aime pour ce que je suis vraiment. Je te fais souffrir en restant envie. Je veux te protéger, ainsi qu’Hiro et les autres, de moi-même. S’il te plait oublis moi.

Pour seule réponse, Haru l’embrassa et la prit dans ses bras en faisant attention de ne pas lui faire mal.

Haru : Je ne peux pas t’oublier, je t’aime. Et s’il faut que je soufre pour être prés de toi, je souffrirais. Je veux vivre avec toi, je t’aime !
Rinne : Pourquoi m’aimes-tu ? Pourquoi est-ce que j’aime être dans tes bras ? Pourquoi est-ce que je t’aime ?
Haru : J’ai besoin de toi………..
Rinne : …………….et moi aussi.

Ils s’enlacèrent, puis les médecins arrivèrent et demandèrent à Haru de sortir. Il descendit vers le café où il vit Hiro, Kagura, Momiji et Kisa.
Il alla s’asseoir avec eux.

Hiro : Comment vas t’elle ?
Haru : Elle est gravement blessé mais le médecin ma dit qu’elle s’en sortirait.
Kagura : Ses blessures sont pas trop grave j’espère ?
Haru : Elle est couverte de bleu, elle a le bras cassé et elle à 8 points de sutures à la tête. Il la assommé avec le cadre que je lui est offert.
Kisa : La pauvre…..
Hiro :………on pourra aller la voir ?
Haru : Pas tout de suite, il faut qu’elle se repose un peu. Elle c’est fait frappé de fois de suite par Akito. Il va me le payer !
Momiji : Tu sais bien qu’il ne peut pas mourir avant « la date ».
Haru : Je le sais bien ! Mais je tiens à ce qu’il soufre comme elle a souffert.

Kisa se blottit contre lui, puis le regarda.

Kisa : S’il te plait Hatsuharu, fait attention à toi. Tu sais pour moi tu as toujours été mon grand-frére même si on n’a pas les mêmes parents. Je veux que tu fasses attention pour que tu puisses continuer à t’occuper de Rinne et de moi. Je t’adore…..

En guise de remerciement, il lui glissa la main dans les cheveux. Puis il annonça qu’il retourné voir sa fiancée.
Arrivé devant la chambre, il toqua doucement sur la porte mais personne ne répondit. Il l’ouvrit doucement et découvrit Isuzu assise et endormie contre la fenêtre. Il s’approcha d’elle lentement, puis il la pris dans ses bras afin de la portée jusqu’au lit.
Il remarqua qu’elle avait encore maigrie, ce qui l’inquiéta. Il la borda tendrement en prenant soin de ne pas lui faire mal au niveau de ses contusions. Un énorme bandage recouvrait une partie de sa tête et elle avait un plâtre au bras.
Il la fixa pendant un long moment en se repassant ses erreurs de la journée. Puis d’un coup elle se retourna, et il remarqua la cicatrice qui ornée le dos de sa bien aimée.
Il s’assit au pied du lit. C’est alors que la porte s’ouvrit, le mouton était venu voir sa sœur.

Hiro (chuchotant) : Il ne la, encore une fois, pas raté. Est-ce qu’elle à mangé ?
Haru : je ne pense pas, le plateau semble avoir été jeté à terre. Sa fait longtemps qu’elle ne mange plus ?
Hiro (tout en s’asseyant sur le bord du lit) : Je ne sais pas. Mais elle n’avait pas bonne mine hier, et aujourd’hui elle est dans un triste état. Tu sais qu’elle déteste les hostos ?
Haru : Oui.
Hiro : Et tu sais aussi ce qu’elle aime faire ?
Haru : Oui……J’ai compris, merci le mouton, je sais ce que je ferais demain.

Hiro se blottit contre la jument et il s’endormit. Haru déposa une couverture sur eux. Puis il retourna à sa place, après avoir donné le reste du plateau à l’infirmière.

Haru se réveilla en sentant quelque chose lui caressé la nuque. C’était Rinne. Elle souriait mais on sentait de la tristesse dans son regard.

Haru : Excuse moi ! Je me suis endormi hier soir en venant…..
Rinne :…..Chut ! Calme toi, ce n’est pas grave. Mon frère ma tout raconté. Il parait que tu voulais me demander quelque chose ?
Haru : Je voulais savoir si tu aimerais venir faire une promenade avec moi, pour te changer les idées.
Rinne : Je veux bien……

Quelqu’un frappa à la porte.

Rinne : Entrez !!!
Kisa & Momiji : Bonjour Isuzu !
Rinne : Bonjour les petits !
Haru : Salut les mioches !

Kisa déposa un bouquet sur la table de chevet et Momiji cachait un paquet derrière son dos.

Haru : C’est quoi ce « truc » que tu cache le lapin ?
Momiji : D’abord, ce n’est pas bien d’être curieux et ensuite, ce n’est pas pour toi mais pour la demoiselle !

Il tendit le paquet, et la jument l’ouvrit.
Elle s’arrêta un moment en fixant le cadre qu’elle venait de découvrir. C’était la photo qu’Haru lui avait offerte. Elle avait cru l’avoir perdu la veille quand les femmes de ménage avait nettoyé la chambre.
Cette photo la représenté elle et le bœuf, à la montagne devant un troupeau de chevaux sauvages. En ce temps la ils n’avaient pas encore tout ces problèmes.

Rinne : Merci beaucoup ! Sa me fait énormément plaisir (elle posa le cadre à côté du vase). Au fait savez-vous où est Hiro ?
Momiji : Je ne sais pas ! Il nous a dit……

Le mouton apparu dans l’encadrement de la porte.

Momiji : Bin tiens ! Quand on parle du loup…..
Haru : ………on en voit la queue !
Rinne : Voyons Haru ! Ce n’est pas des choses à dire devant les petits !
Momiji, Kisa & Hiro : De Quoi ???
Rinne: Rien du tout! Ce n’est pas de votre âge !
Momiji : Je te ferais remarqué que j’ai le même âge qu’Hatsuharu !
Haru : MOUTARDE !!!
Momiji : OUIN ! T’ES HORRIBLE AVEC MOI !!!
Hiro : On voit à quel point tu es mature.

Tout le monde éclata de rire. Le mouton donna à sa sœur un petit ramequin qui contenait de la gelée.

Hiro : Voilà pour toi ! Au moins je suis sur que tu la mangeras !
Rinne : Sa y’a pas de doute.


Haru revint chercher Isuzu vers 14h00 pour l’emmener faire un tour. Les médecins lui avaient recommandé de faire attention à elle car elle était encore très faible.
Il marchèrent sur un petit sentier qui s’éloigner dans la forêt.

Haru : Sa vas ?
Rinne : Oui, beaucoup mieux ! Je n’aime pas être enfermé dans cette chambre. Surtout quand je sais que cet hôpital appartient au Soma.
Haru : Ah Bon ???
Rinne : Tu ne le savais pas ? Je les appris la première fois où j’y suis allé.
Haru : Je comprends…..
Rinne :…..Comment Akito a su que j’étais la bas. Je ne sais pas si tu as remarqué mais aucun médecin n’est venu hier quand il était là. Il les commandes tous, c’est pour sa que je n’aimes pas cet endroit.

Ils continuèrent de marcher mais Haru remarqua que sa fiancée avait le regard vide. Il s’arrêta et la pris tendrement dans ses bras.

Haru : Qu’est-ce qu’il y a ? C’est à cause des coups que tu as reçus ? Tu sais je suis terriblement désolé !
Rinne (fuyant son regard) : Non, ce n’est pas sa. J’en ai l’habitude.
C’est que j’ai quelque chose à te dire mais je ne sais pas comment faire. J’ai peur.
Haru : Dit moi. Je suis là pour t’aider.
Rinne : Je préfère te les montrer.

Elle lui prit la main et l’emmena à l’extérieur du sentier. Ils avancèrent péniblement au milieu des fougères et des racines. Soudain ils arrivèrent dans un endroit dégagé, comme une sorte de petite clairière. Elle enleva ses bottes, le bœuf l’imita. Ils s’approchèrent de deux petits rochers dressés dans le sol.

Haru : Rinne, je ne comprends pas. Qu’est-ce que c’est ?
Rinne (doucement): Tu te souviens que je suis partit pendant plus de 7 mois l’année dernière ? Puis quand je suis revenu, je suis partit à l’hôpital et j’ai refusé de te voir. Tu t’en souviens ?
Haru : Oui, mais….
Rinne :….La raison pour laquelle j’étais partit, c’est que j’avais peur que tu me rejettes. Je suis partit vivre dans notre chalet à la montagne pendant ces 7 mois. Mais Akito ma fait rechercher et ses détectives mon retrouvé.
Haru : Je m’inquiète Isuzu, qu’est-ce qu’ils t’on fait ?
Rinne : Ils m’ont ramener à Akito, il c’est mis en colère. Il m’a violement frappé et j’ai été envoyé à l’hôpital.
Haru : Mais que représentent ces deux pierres tombales ?
Rinne (des larmes dans les yeux) : Ce sont nos enfants. Excuse moi Haru, je l’ai est perdu.

Le bœuf la pris dans ses bras pour la consoler, mais elle s’en retira et alla s’asseoir prés d’un arbre.

Rinne : Quand j’ai appris que j’étais enceinte, j’ai eu très peur. Je suis partit, mais j’avais prévu de te le dire. J’avais peur pour toi et pour eux. Akito ma violement frappé au ventre. Il hurlé : « Tu n’as pas honte ? Tu es un monstre ! Comment as-tu pu pensé qu’il te garderais ? Tu n’as pas le droit de l’aimer, et lui non plus ! Ils ne doivent pas vivre !!! »
Il voulait que je les perde, il a souhaité leurs morts. Quand j’ai appris qu’il était trop tard je me suis demandé pourquoi le seigneur ne m’avait pas pris à leur place. Je n’ai pas voulu que tu saches, je ne voulais pas que tu soufres, je ne veux pas que tu m’abandonnes…

Haru s’approcha d’elle lentement et lui caressa le visage. Leurs larmes se mêlèrent les unes aux autres, il l’embrassa.

Haru : Je ne vais pas t’abandonner. Ils continueront à vivre dans notre cœur. Ne t’inquiète pas, je les vengerais.

Ils restèrent silencieux pendant un long moment. Rinne déposa de nombreuses fleurs sauvages sur les deux tombes et ils repartirent.

Haru venait de laissé Rinne chez Kagura, en lui demandant de veillé sur elle s’il arrivé malheur. Kagura le questionna sur ses intentions mais il ne répondit pas. Il prit la direction du manoir. Là il découvrit Kyô et Yuki. Se qui lui sembla bizarre.

Haru : Qu’est-ce que vous faites là ?
Yuki : Oh, rien ! On attend juste Shiguré et Hatori car on doit partir tout les 5 : Tohru, Shiguré, Hatori, Ce stupide chat et moi en voyage.
Kyô : Tu sais qu’est-ce qui te dit le chat ?
Yuki : Moi aussi j’t’adore ! Tu n’as pas l’air en forme et t’es plutôt en colère. Que ce passe t’il ?
Haru : J’ai quelque chose à régler, c’est tout !
Yuki : Rinne va mieux ? J’ai appris ce qui c’est passé hier. Akito a dépassé les bornes.
Kyô : Ce n’est pas la première fois qu’il les dépasse !
Haru : Oui, elle va mieux. Je l’ai déposé chez le sanglier. Mais elle doit ce reposer. Bon, salut les gars ! J’ai quelque chose à faire !

Il s’éloigna d’eux et pris la direction de la chambre du chef de Famille.
Il frappa, puis après avoir attendu l’autorisation, il entras.

Akito : Tiens ? Mais on dirait mon agresseur ? Tu es venu te faire pardonner ? Tu as compris que ce n’était qu’une traînée ?
Haru : Oui. J’ai compris vers qui je devais me tourner. Je fais ce que vous vouliez faire d’elle.
Akito : Je ne te crois pas ! Tu n’as pas pu ! Tu es trop stupide !
Haru : Elle était beaucoup plus bête que moi, elle ma suivi et je l’ai tué.
Akito : Comment puis-je en avoir la preuve ?
Haru : Je vous emmènerai sur les lieus, son corps y est encore. Je ne suis pas osé la toucher, elle était trop monstrueuse.
Akito : Très bien ! Je me sens en forme pour une balade. Montre moi ce qui reste d’elle.

Ils partirent tout les deux vers la montagne. Akito était accroché au bras d’Hatsuharu comme un enfant. Tout les dix mètres, il ordonné au bœuf de s’arrêter. Puis il décida qu’il ne pouvait plus marcher, Haru le porta.
Ils arrivèrent devant un ravin.

Akito : Où est-elle ? Je ne la vois pas.
Haru : Je l’ais jeté dans le ravin. Elle est resté accroché au bord en me suppliant de la sauvée mais je lui est jetée des rochers dans la gueule pour qu’elle crève.
Elle doit être tombé dans le fond regarder bien !

Akito se pencha toujours agripper à Haru. Pendant un moment il faillit glisser mais le bœuf le rattrapa.

Akito : Merci, imbécile. Au fait, que t’as t’elle dit avant de mourir ?
Haru : Elle m’a dit qu’elle avait été enceinte de moi. Des jumeaux qui plus est ! C’est grâce à vous que j’ai eu la chance de ne pas les connaître.
Akito : Ce n’est rien ! Tu me remercieras plus tard (il continu à la chercher). C’est étrange je ne la voix pas !

C’est alors qu’Haru le saisi par le cou. Il l’agrippa fortement. Akito se débattait pour qu’il le lâche. Le bœuf mis sa proie au-dessus du vide.

Haru : Tu as détruit le bonheur de Rinne. Tu as tué nos enfants, tu mérites de mourir. Jamais plus tu ne feras du mal à quelqu’un !

Akito devenait bleu. Il ne pouvait plus respirer, il fixé Haru de son regard noir. Il ne pouvait pas le frappé, son corps étaient engourdi par le manque de sang.

Haru : Tu veux que je te lâche ?

Akito aquiessa de la tête, il s’avait qu’il ne pouvait pas mourir avant la date prévue.
Haru le lâcha d’un coup, et le corps du chef de famille dégringola la pente. Puis il tomba lourdement sur les rochers.
Akito s’inquiéta, il sentait son cœur ralentir de plus en plus. Il ne pouvait pas mourir.

Pourtant au bout de quelques minutes son cœur s’arrêta et il mourut.
Haru n’avait pas compris ce qui venait de faire. Son sang s’écoulait rapidement dans ses veines. Il venait de tuer le chef de famille……


Il parcouru à toute vitesse les ouvrages de la bibliothéque. Il chercher le livre qui renfermait la vérité sur la malédiction.

Il le trouva. L’ouvrage était abîmé. Il le feuilleta, puis découvrit ce qu’il chercher. « La mort du chef de la famille Soma » ; il lu attentivement la page :

La mort du chef de famille se déroulera la veille de son trentième anniversaire.
Il ne pourra pas mourir auparavant.
Cependant, si deux des maudits de la famille soufres du même chagrin, l’un d’eux pourra tué Le chef.
Mais le meurtrier devras se soumettre au choix de son amant : si ce crime lui semble être Abominable, l’assassin moura au bout d’une semaine ; sinon l’enfant né de cet amour Réciproque deviendra le chef de famille.
C’est alors que la malédiction sera levée.
Les apparences animalières se perpétueront de génération en génération mais
Le chef de famille n’aura plus le contrôle des maudits.


Haru, révéla la malédiction à Rinne, la mort d’Akito lui sembla une bonne chose. Tous les maudits furent heureux d’être libérés de cette emprise.



Quelque mois plus tard, dans la maison de Rinne et Haru :

Rinne : Haru, Hiro ! J’ai une très grande nouvelle à vous annoncée.
Haru : Tu vas porter du blanc ? Mettre un col rouler ?
Hiro : Tu vas te teindre en blonde ?
Kisa (qui savait ce que voulais dire Isuzu) : Ne soyez pas bêtes ! Et laissé la parler !
Haru : Oh la ! Y’a le tigrounet qui s’énerve !
Rinne : Bon, je voulais juste dire que je demandais le divorce !
Haru : Non je t’en su pli ! Je ne peux pas vivre sans toi, MI AMOR !!!
Ritsu (qui passait devant la terrasse) : Non ! TOUT EST DE MA FAUTE ! PARDONNE MOI, JE NE SAIS PAS CE QUE J’AI FAIT !
Rinne : Moi non plus, je sais pas ce que t’as fait imbécile. Et arrête de cirés le sol avec ton kimono !

Tout le monde éclata de rire.
Rinne : Bon si sa intéresse quelqu’un : j’attend un bébé !
Haru : Un enfant ? (Il tomba de son fauteuil) Un enfant de moi ?
Rinne : Non, c’est un vieil homme de 97 ans et le père c’est Shiguré.
Haru : Je n’aime pas quand tu te moques de moi.

Rinne lui gratouilla le dos.

Rinne : Tu n’es pas content ? Tu veux me quitter ? Sinon, j’irais habités ave mon frangin et j’épouserais Momiji.
Haru (à genoux) : Je t’aime ! C’est le plus beau jour de ma vie. Je te promets d’être un bon père.

Isuzu l’attrapa par le col et l’embrassa comme au premier jour.

Fin

Je crois que le stimotails est content! C'est grave d'octeur?

masi non ! de toute façon il a ses cachets!!
elle est trop bien ton historie!! continu!!

Hahaha je t'aime Woooolf ^^

lysanna a écrit:

masi non ! de toute façon il a ses cachets!!
elle est trop bien ton historie!! continu!!

t sur?

euh... tout compte fait ...

A JE ME DISAIT AUSSI..... :clown:

géniale

Cana a écrit:

géniale

l'histoire patate!

ta fic est bien je vient de la finir masi c'est dommage que tu mette le perso avant au lieu de mettre
ex: !déclara Isuzu...

essaie tu verras c'est beaucoup plus agréable!

NAAAAAAN PAS SAAAAAAAAAAAAA
Pas le "! déclara machin"!!!!!

mismas fait un pétage de plom sa dévien grave.

allait chercher un médecin. ou est l'acille de foux. saint anne tu est ou

Calin Mismas? Tu veux un gros calin?

J'aime pas sa "déclara...", sinon j'ai encore plus de mal a écrire ce que je veux et je vous parle pas des érreurs. Et j'ai toujours aimé cette façon d'écrire, sa me fait penser un peu au théatre...

Et puis c'est bien connu j'aime pas faire comme tout le monde! La preuve je porte un joli colier de chien avec la médaille en prime! Alors ya des commentaires?

câlin copain lapinou anarchiste guitariste fou et DECLARA MACHIN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Voui Wolf je veux un câlin... Le renard il est méchant!!!


Quant à toi le méchant renard, PAS DE CALIN COPAIN PEACE ANARCHIE! NA!

et ba pour la peine moi je fairais aucun commentaire